Dans le cadre de son engagement en faveur de la préservation de l’environnement et de la biodiversité urbaine, la Ville de Valras-Plage a récemment installé des nichoirs et des hôtels à insectes dans plusieurs lieux stratégiques de la commune.
Les nichoirs ont été placés dans des endroits emblématiques tels que la salle Guy Combes, le Palais de la Mer, l’école de voile, le Nautilus, la maternelle et la cantine scolaire.
Deux hôtels à insectes ont également été installés, l’un à l’école maternelle et l’autre au centre de loisirs, complétant ainsi celui mis en place l’an dernier à l’école élémentaire.
Ces hôtels jouent un rôle crucial dans la pollinisation et l’équilibre écologique, en attirant des insectes bénéfiques.
Le maire, Daniel Ballester, a souhaité participer personnellement à l’installation des nichoirs, en collaboration avec les services techniques de la Ville.
À ses côtés, Sébastien Vieu, adjoint délégué à l’environnement et à la qualité de vie, à l’origine du projet et coordinateur de cette initiative écologique, a supervisé les opérations.
« Pour la fabrication des nichoirs, explique-t-il, la commune a fait appel à l’association Sauvegarde Hérault Littoral, explique-t-il. Ce sont ses bénévoles qui ont fabriqué les nichoirs à la main, en utilisant des matériaux durables et locaux : du bois provenant des forêts de l’Hérault, gérées de manière durable, ainsi que du pin Douglas naturellement imputrescible, garantissant ainsi leur longévité. »
Cette initiative s’inscrit pleinement dans la volonté de la municipalité de créer un environnement propice à la faune locale et de sensibiliser la population à la protection de la biodiversité.
Saviez-vous qu’ « il est interdit de jeter ou de déposer des graines ou nourriture, en tous lieux ou établissements publics, susceptibles d’attirer les animaux errants, sauvages ou redevenus tels, notamment les pigeons »
Parce que les pigeons des grandes villes, considérés comme semi-domestiqués, ne vivent que grâce à l’homme : ils dépendent de nous pour se loger (dans les cavités, les toits et les terrasses des bâtiments), mais également pour se nourrir. Or, qui dit nourriture, dit prolifération des pigeons et augmentation des nuisances qu’ils provoquent…
Si on est pris en train de nourrir des pigeons, on encourt une contravention de 3ème classe dont l’amende forfaitaire s’élève à 68 euros, pouvant être majorée à 180 euros. Cette amende peut même monter à 450 euros si elle est prononcée par décision de justice, et non par un agent des forces de l’ordre.
Les pigeons sont de véritables sources d’exaspération.
Lorsque les pigeons arrivent en ville et en grand nombre, le danger est bien présent. En effet, la fiente de pigeon est une véritable bombe à agents pathogènes qui peuvent contaminer l’homme par simple inhalation des poussières provenant des excréments secs contaminés.
Elle peut être le vecteur des maladies suivantes :
Ce n’est pas une action généreuse que de leur offrir vos derniers restes de pain sec. Cette pratique les rend semi-domestiques : la colonie de pigeons s’attend à ce que des humains leur donnent à manger. Or ce sont des animaux sauvages qui doivent trouver leur nourriture seul.
En les nourrissant nous créons une dépendance à l’Homme et une surpopulation anormale. Pour qu’ils retrouvent leur habitat naturel et partent des villes, il suffit d’arrêter de les nourrir.
Les 5 bonnes raisons d’arrêter de nourrir les pigeons
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